Vous avez tout pour être heureux.se… Alors pourquoi vous sentez-vous si mal ? ?
- karinebassetti
- 27 juin
- 16 min de lecture
Comment faire pour aller mieux et remettre de la joie et de la légèreté dans votre vie grâce au coaching bien être ?
Karine BASSETTI - coach de vie
En apparence tout va bien… Alors pourquoi vous sentez-vous si mal, si vide ?
En apparence, votre vie est parfaite... Alors pourquoi ressentez-vous ce vide à l’intérieur.
Vous avez un travail. Peut-être une vie de couple. Peut-être les enfants dont vous rêviez. Peut-être la maison de vos rêves. Des amis.
Ou peut-être êtes-vous célibataire par choix, libre, indépendant·e, maître·sse de votre emploi du temps.
Quelle que soit votre situation actuelle, on vous dit souvent que vous avez « tout pour être heureux·se». Et sur le papier, c’est vrai : toutes les cases sont cochées.
Et pourtant…Il y a ce MAL-ÊTRE SILENCIEUX. Ce vide que rien ne semble combler. Cette impression de porter un masque en permanence. Vous avez perdu votre joie, vous vous sentez éteint.e, triste.
Et cette petite voix, à l’intérieur, qui demande doucement : "Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? "
Et, en plus du mal-être, s’invite souvent la CULPABILITÉ. Celle de ne pas réussir à profiter de ce que l’on a, de ne pas être à la hauteur de ce bonheur attendu, de se sentir triste alors que tout semble aller bien, comme si souffrir sans “raison valable” devenait presque honteux.
Cette culpabilité sourde vous chuchote : "Tu n’as pas le droit d’aller mal. Tu devrais être reconnaissant·e. Regarde tout ce que tu as… ".
Vous essayez de faire taire cette petite voix, ce murmure intérieur.
Si vous vous reconnaissez, sachez que vous n’êtes pas seul·e.
Ce paradoxe, beaucoup de personnes le vivent. Ce n’est ni une faiblesse, ni une fatalité.
Et si on prenait un moment pour comprendre ce qui se cache derrière ce mal-être ?
Je vous propose d’en explorer des causes possibles,
puis de découvrir quelques pistes pour aller vers plus de clarté et de mieux-être.
SOMMAIRE
1. Pourquoi ce mal-être ?
Ce sentiment de malaise intérieur, alors que tout semble « aller bien » de l’extérieur, n’est pas un caprice d'enfant gâté. C’est souvent le signe que quelque chose de profond en vous est négligé ou ignoré. Voici quelques raisons fréquentes :
1. Vous vivez selon les attentes… des autres ?
Depuis l’enfance, on nous apprend à bien faire, à ne pas décevoir, à cocher les bonnes cases. Et si vous aviez inconsciemment bâti votre vie sur ce que l’on attendait de vous, plutôt que sur ce qui vous fait vibrer ?
Il y a des chemins que l’on emprunte sans vraiment les questionner. Des chemins balisés, rassurants, reconnus par tous. Vous reconnaissez-vous dans l'une de ces situations ?
Peut-être avez-vous choisi LA STABILITÉ RASSURANTE ?
Vous avez suivi la voie qu’on vous avait tracée ? Peut-être sans même vous en rendre compte. Depuis l’enfance, vous avez été sage. Sérieux·se. Responsable. On vous a félicité.e pour votre maturité, votre sens du devoir, votre capacité à "ne pas faire d’histoires".
Alors vous avez appris à faire ce qu’on attendait de vous. À dire "oui" quand votre cœur murmurait "non". À choisir les options “sûres”, celles qui rassuraient vos parents, vos profs, votre entourage. Études. Métier stable. Couple sérieux. Enfants, peut-être. Maison avec jardin. Et chaque étape validée vous a apporté une forme de reconnaissance. De fierté. D’approbation. D’amour aussi, parfois.
Mais un jour, parfois, chez certain.e.s, quelque chose commence à s’effriter. Pas brutalement. Plutôt comme une petite fissure, à peine perceptible, vous ne sauriez pas vraiment dire quand elle est apparue. Et puis un soir, vous rentrez chez vous et vous sentez triste, vide. Et puis ce vide revient. De plus en plus souvent. Jusqu’au jour où vous réalisez que vous avez construit une vie “parfaite” pour tout le monde… sauf pour vous. Et pourtant vous aimez vos enfants plus que tout, votre conjoint.e aussi, vous adorez votre maison...alors où est le problème ?
Et là, la culpabilité frappe fort. Parce que vous avez “réussi”. Parce que tant d’autres n’ont pas cette chance. Parce que vous ne voulez blesser personne. Parce que vous avez tout pour être heureux.se...
Alors vous vous taisez. Vous souriez. Vous continuez. Et plus vous avancez, plus le malaise s'installe.
Il existe une autre voie, différente mais tout aussi balisée : Celle de l’indépendance farouche.
Il s'agit de la voie où il est valorisé d’être libre, affranchi·e, inclassable.
C'est la voie où vous avez peut-être dit : "Moi, je ne ferai pas comme tout le monde." Vous avez rejeté le cadre, les conventions. Vous êtes parti·e loin, ou vous avez tout plaqué. Vous êtes devenu·e entrepreneur·e, artiste, nomade, célibataire assumé·e. On vous admire pour votre audace, votre liberté, votre refus des compromis.
Et pourtant…Dans cette vie choisie, parfois, le doute s’infiltre aussi. Vous vous surprenez à envier ceux qui ont des racines. À rêver de stabilité, de lenteur, de simplicité. Mais oser dire cela, ce serait comme trahir l’image que vous avez construite.
Et la culpabilité est là aussi. La culpabilité de ne pas vous sentir pleinement épanoui·e, alors que vous avez “brisé les codes”. La culpabilité de vous demander si vous êtes vraiment libre… ou simplement en train de répondre à d'autres injonctions, plus subtiles, mais tout aussi pesantes.
Que vous ayez choisi la conformité ou la rébellion, la question reste la même : "Est-ce vraiment votre vie que vous vivez ?" ou celle que vous pensiez devoir vivre, pour être aimé·e, reconnu·e, valorisé·e ?
2. Vous vous êtes oublié·e en chemin ?
Il y a eu des choix. Des étapes. Des engagements. Et puis, petit à petit, sans même vous en rendre compte… vous vous êtes effacé·e, vous avez laissé les autres choisir à votre place. Un film, un menu, une destination de vacances...
Ce n’était pas conscient, pas intentionnel. Vous pensiez bien faire. Vous pensiez aimer ce que vous faisiez. Vous disiez "oui" par automatisme, pour ne pas décevoir, pour ne pas créer de vagues, pour maintenir l’équilibre, pour faire plaisir, par confort...sans même réfléchir à ce que vous aviez vraiment envie.
Et puis un jour, quelque chose en vous se met à grincer.
Une fatigue étrange.
Un manque que vous n’arrivez pas à nommer.
Un manque d'envie, d'élan, de motivation.
Alors vous commencez à regarder autour de vous…
et vous ne vous reconnaissez plus.
Vous réalisez :
Que vous regardez des films qui ne vous plaisaient pas tant que ça.
Que vous ne mangez plus les plats que vous aimiez vraiment.
Que votre playlist ne vous parle plus, mais vous l’écoutez quand même.
Que vous vous habillez pour coller à un rôle, pas pour vous sentir bien.
Que vos week-ends sont toujours “bien remplis”, mais rarement nourrissants.
Que vous allez à ces dîners où vous n’avez pas envie d’être, par politesse.
Que vous ne savez même plus quel genre de vacances vous ferait vraiment du bien.
Et surtout… que vous vous demandez
depuis combien de temps vous n’avez pas choisi pour vous.
À quel moment avez-vous arrêté de vous écouter ?
Quand avez-vous arrêté d'écouter vos émotions, et de dire ''oui" à ce qui vous touche, vous fait vibrer?
En réalité, il y avait toujours quelque chose de plus urgent, de plus important, de plus raisonnable.
Et puis, prendre du temps pour soi vous semblait égoïste...
Et là, la vérité tombe comme une évidence un peu douloureuse :
Vous ne savez même plus ce qui vous fait vraiment plaisir.
Alors la culpabilité revient, insidieuse. Vous vous en voulez de vous être oublié·e, de vous être adapté·e à tout, à tout le monde, sauf à vous. Vous avez cru qu’aimer, c’était taire ses émotions pour faire passer celles des autres en priorité, que réussir, c’était s’oublier un peu.
CE VIDE que vous ressentez, ce n’est pas une crise d’égo.
C’est un SIGNAL, un MESSAGE.
C’est cette part de vous, encore vivante, qui frappe doucement à la porte. Pas pour tout casser.
Mais pour vous rappeler qu’il est peut-être temps de revenir vers vous.
3. Vous portez un masque… sans même vous en rendre compte
À force de vouloir bien faire, bien paraître, bien gérer… vous avez construit un personnage. Et ce rôle a fini par coller à votre peau.
Vous ne savez plus vraiment à qui vous pouvez dire que ça ne va pas. Vous vous êtes peut-être éloigné.e de vos vrais ami.e.s en portant ce masque, en n'étant plus totalement vous-même.
Vous redoutez d’être jugé·e, incompris·e, ou pire, d’être perçu·e comme "ingrat·e”, alors que vous avez “tout pour être heureux·se”. Alors vous continuez à faire bonne figure mais à l’intérieur, ce sentiment de vide grandit.
Le masque rassure les autres. Mais il vous isole.
Et CE MAL-ÊTRE que vous ressentez, c’est peut-être simplement le BESOIN D'ENLEVER CE MASQUE.
Pour enfin respirer.
Et être vu·e… pour de vrai.
4. Ce malaise est un signal, un MESSAGE ...pas une fatalité
Plutôt que de vous juger, de culpabiliser je vais vous inviter
à écouter ce que ce mal-être essaie de vous dire.
Il est souvent le symptôme d’un besoin profond ignoré.
Si vous écoutez le message, vous retrouverez
plus de sens, plus d’authenticité, plus d’espace pour être vous-même.
2. Comment commencer à se retrouver ?
Réaliser qu’on s’est perdu·e est la première étape essentielle (et sans doute douloureuse) qui vous permettra d'avancer. Certain.e.s seront alors tenté.e.s de tout changer d’un coup. Changer de travail, de ville, de couple, de rythme de vie…Mais se retrouver, ce n’est pas forcément tout bouleverser. C’est d’abord, oser revenir à l’intérieur, s'écouter, se redécouvrir pour savoir ce qu'il est nécessaire de modifier.
Voici quelques premiers pas, simples, mais puissants. De l'introspection et de l'action.
1. Ralentissez pour entendre ce qui se passe vraiment
Tant que vous courez, vous n’entendez rien. Le bruit du quotidien couvre la voix intérieure. Celle qui dit “j’en peux plus”, “j’ai besoin de respirer”, ou juste “je ne me reconnais plus”.
Ralentir, c’est ne rien faire parfois. Ou faire autrement. C’est dire "non" à une invitation sans vous justifier. C’est marcher seul·e. C’est rester un soir sans écran. Juste pour voir ce qui remonte. Certain.e.s iront marcher dans la forêt, d'autres dans la montagne. Certain.e.s écouteront de la musique, d'autres peindront, dessineront, feront de la poterie, de la musique, du yoga...Prenez des moments pour vous. Débranchez le pilote automatique. Respirez. Ressentez ce qui se passe dans votre corps, dans votre coeur, dans votre tête.
Ce n’est pas toujours agréable. Parfois, ça pique. Mais c’est dans ce moment avec vous-même que vous allez entendre votre murmure et vous reconnecter à vos émotions.
🖊️ Si vous aimez écrire, écrivez dans un carnet vos ressentis, sans filtre, pour mieux les explorer.
Voici quelques questions qui peuvent vraiment vous aider à voir ce que vous ne voyez pas encore :
Quand vous êtes vous senti.e vraiment vivant.e, vraiment vous-même ?
Qu'est ce qui vous a fait vibrer, pétiller dernièrement ? C'était quand ? Où ?
Qu'avez-vous ressenti dans votre corps ?
À quelles émotions vous êtes vous connectées ?
Que vous êtes-vous dit, quelles étaient vos pensées, votre dialogue interne à ce moment-là?
Quels ont été les impacts pour vous d'avoir vécu ce moment-là?
Qu'est ce que cela change pour vous ?
En quoi ce moment avait du sens pour vous, pour la personne que vous voulez devenir ?
Quels ont été les impacts pour votre entourage que vous ayez vécu ce moment-là?
2. Réapprenez à choisir, pour vous
Commencez petit. Pas besoin de bouleverser votre vie. Juste de reprendre un espace de choix, même minuscule : Un plat que vous aimez. Une série qui vous touche. Un restau qui vous tente. Un vêtement dans lequel vous vous sentez "vous”.
Vous allez progressivement réapprendre à choisir. Pour vous. En conscience.
Pas pour faire plaisir. Pas pour bien faire.
Juste… pour se sentir vivant·e.
Posez-vous cette question simple, mais radicale :
“Est-ce que je fais ça pour moi… ou pour cocher une case ?”
Ces choix-là, au début, sont fragiles. On doute. On culpabilise. Tenz bon et recommencez !
Chaque jour, fixer vous un objectif précis :
1 choix (minimum) conscient, pour vous (NON ! ce n'est pas de l'égoïsme !)
Que vous apporte ce choix (détente ? plaisir ? création ? joie ?....) ?
Quel besoin, quelles valeurs nourrit-il ? Notez-le !
Quelle émotions (dans votre coeur), sensations (dans votre corps), pensées (dans votre esprit) génère-t-il ?
Félicitez-vous d'avoir réussi ce nouveau pas (cela améliore votre estime et cela envoie un message fort à votre cerveau qui va libérer de la dopamine...meilleur moyen de créer une nouvelle habitude).
3. Reprenez votre pouvoir
Souvent, la souffrance ne vient pas seulement de ce qu’on traverse… mais du sentiment d’impuissance, de cette impression de subir sa vie plutôt que de la choisir. On se sent bloqué.e, paralysé.e, à la merci de circonstances qui nous échappent.
Mais ce n’est pas une fatalité. Dans le 1. vous avez déjà commencé à Reprendre votre pouvoir, en comprenant ce qui se joue en vous, en remettant de la clarté là où tout semble confus. Et petit à petit, dans le 2. vous réapprenez à faire des choix pour vous, plus conscients, plus alignés, pour ne plus seulement survivre… mais vivre vraiment.
4. Autorisez-vous à ne pas aller bien
Cette étape n'est pas la plus simple : Cesser de vous juger pour ce que vous ressentez. Cesser de vous répéter que “vous n’avez pas le droit d’aller mal”.
Vous avez le droit d’être épuisé·e, triste, en colère, ou perdu·e… même si tout semble parfait autour de vous. Vous avez le droit de vous sentir vide dans une vie pleine. C’est humain. C’est légitime.
Et c’est précieux parce que ce mal-être, c’est souvent un appel à plus de vérité. Pas à tout plaquer. Mais à commencer à être un peu plus vrai·e. Avec vous-même, d’abord.
Se sentir mal, ce n’est pas un échec. C’est une invitation. Une invitation à revenir à vous-même.
5. Ne vous comparez pas : ce que vous voyez n’est pas toute l’histoire
Quand on se sent mal alors que « tout va bien », la tentation est grande de se comparer aux autres. De regarder leur sourire, leur réussite, leurs projets, leur couple, leurs vacances. On se dit alors :“Pourquoi moi, je ne ressens pas cette joie ?”,“Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ?”
Mais ce que vous voyez… n’est qu’une façade.
Les autres partagent ce qui brille. Ce qui rassure. Ce qui fait bien. Rarement leurs doutes, leur fatigue, leur vide, leurs larmes dans la voiture (et d'ailleurs, ceux qui les partagent sur les réseaux sociaux se prennent souvent des commentaires violents tels que : ''de quoi tu te plains, tu as tout". ).
La comparaison est toujours faussée. Vous comparez votre ressenti intérieur à une vitrine extérieure, votre réel à leur mise en scène. Et ce jeu-là, on le perd toujours.
Et si, au lieu de vous comparer, vous vous reconnectiez ? À ce que vous ressentez, ici et maintenant. À ce qui est vivant en vous, même si c’est inconfortable. C’est ce retour au réel, le vôtre, qui vous ramènera à vous. Vous n'avez pas besoin d'être parfait.e mais d'être vrai.e, authentique et aligné.e.
6. Changez ce qui peut l'être
Vous n’avez pas tout raté. Vous ne vous êtes pas “trompé·e de vie”. Mais peut-être qu’une partie de vous a simplement changé. Et c’est normal. Vous n’êtes plus la même personne qu’il y a un an, deux ans, cinq ans. Vos besoins ont évolué. Vos envies aussi. Vos repères se déplacent. Et ce n’est pas un problème : c’est le signe que vous êtes vivant·e, en mouvement.
Ce n’est pas la fin de cette vie que vous avez construite. C’est peut-être juste la fin d’un cycle. Et le tout début d’un autre, plus aligné, plus doux, plus vrai.
Il est peut-être temps de faire du tri.
De questionner ce qui est là “par habitude”, ce qui ne vous convient plus.
De vous interroger sur ce que vous voulez vraiment.
Comment vous voulez remplir votre vie, avec quelles personnes, quelles activités ?
Qui voulez-vous devenir ?
À vous d'IDENTIFIER ce dont vous avez besoin et d'AGIR (que voulez-vous SUPPRIMER, MODIFIER, AJOUTER ?).
Voici quelques exemples volontairement peu précis, pour ne pas vous influencer... c'est à vous d'aller chercher en profondeur vos solutions (je sais pertinemment que cela n'est pas simple) :
Certain·e·s choisiront de ralentir, de se recentrer, et de repenser leurs priorités pour remettre du sens dans leur quotidien.
Certain·e·s commenceront à poser des limites là où il n’y en avait jamais eu, et apprendront à dire "non" sans culpabiliser.
Certain·e·s remettront en question leurs habitudes, changeront leur rythme de vie et adopteront une routine différente, plus respectueuse de leurs besoins.
Certain·e·s feront le tri dans leurs relations et s’entoureront de personnes qui les font se sentir vivant·e·s, entendu·e·s, soutenu·e·s.
Certain·e·s exploreront l’idée d’un changement de voie professionnelle, d’un projet plus aligné, ou simplement d’un nouveau rapport au travail.
Certain·e·s commenceront à parler, à exprimer ce qu’ils·elles ressentent vraiment, même si ça fait peur, même si c’est nouveau.
Certain·e·s choisiront de se reconnecter à leur corps, à leur créativité, à leur joie, pas pour être productif·ve·s, mais pour être vivant·e·s.
Certain·e·s prendront enfin du temps pour eux·elles, sans chercher à “faire plus”, mais juste à être, à écouter, à respirer.
7. Modifiez vos perceptions, mettez du sens sur ce qui fait souffrir
Parfois, il ne s’agira pas de changer quelque chose à l’extérieur, mais simplement de modifier votre perception. Il y a des situations, des relations, des éléments de votre vie que vous ne souhaitez pas forcément supprimer, et c’est parfaitement légitime. Pourtant, ils continuent de vous peser, de vous faire souffrir. Dans ces cas-là, ce n’est pas la réalité elle-même qui est douloureuse, mais le regard que vous portez dessus.
En remettant du sens là où il semblait y avoir un vide, en changeant la façon dont vous interprétez ce qui est, vous pouvez apaiser votre ressenti… sans avoir à tout déconstruire. Ce n’est pas fuir : c’est transformer. Parce qu’un changement de perception, parfois, c’est déjà un changement de vie.
C’est là toute la force d’un accompagnement en coaching de vie : vous aider à changer de perspective, à réinterpréter ce que vous traversez en vous reconnectant à vos valeurs et à vos aspirations profondes.
Pour conclure ...
Vous méritez de vous sentir bien, pas seulement en apparence, mais en profondeur.
Ce mal-être que vous ressentez n’est pas un bug.
Ce n’est pas une faiblesse.
Ce n’est pas un caprice.
Ce n’est pas une faiblesse, ni une honte.
C’est un message, un signal, une chance.
Un appel à ralentir. À vous écouter. À vous retrouver.
Pour vivre vraiment la vie qui vous inspire.
3. Le coaching bien être, un outil puissant pour se retrouver, se redécouvrir ...
...et remettre de la joie, de la légèreté dans votre vie !
Aujourd'hui, tout vous semble peut-être flou, confus et angoissant.
Vous n'êtes pas obligé.e de traverser cette zone de turbulences seul.e.
Le coaching bien être intervient justement dans ces moments de doute, de transition ou de remise en question. C’est un espace structuré, bienveillant et sans jugement, dans lequel vous pouvez déposer ce que vous vivez, être pleinement écouté.e et guidé.e pas à pas, avec clarté et douceur.
ll ne s’agit pas seulement de "se sentir mieux". Il s’agit surtout de se retrouver : reconnecter à qui vous êtes vraiment, à ce qui vous anime, à ce que vous voulez profondément.
Il s’agit aussi de se redécouvrir : apprendre à vous connaître sous un autre angle, à mieux comprendre vos besoins, vos fonctionnements, ce qui vous fait du bien… et aussi ce qui ne vous nourrit plus.
Car une fois que l’on met de la clarté sur ce qui manque, sur ce qui sonne faux ou vide, on peut enfin faire des choix en conscience.
Changer de perception sur ce qui fait souffrir.
Changer ce qui peut l’être.
Ajuster, transformer, parfois même laisser partir certaines choses, certaines habitudes, certaines relations, pour faire de la place à ce qui vous ressemble vraiment.
Le coaching bien être vous accompagne dans ce processus :
pas à pas, avec bienveillance,
pour que chaque prise de conscience devienne une action concrète vers une vie plus alignée.
Ensemble, nous irons à la racine de ce qui vous freine, blocages intérieurs, pensées limitantes, pour qu’ils cessent de saboter votre progression et laissent enfin place à l’épanouissement. Nous les questionnerons, les déconstruirons afin que vous puissiez les remplacer par des pensées plus justes, plus douces, plus puissantes.
Parce qu’à partir du moment où vous reprenez le pouvoir sur votre dialogue intérieur,
tout peut changer.
Votre vision de vous-même. Vos choix. Votre vie.
Grâce à des outils concrets, des échanges authentiques et un accompagnement sur-mesure, le coaching bien être devient un véritable tremplin pour vous réaligner avec vous-même. Pas à pas, vous reprenez les rênes de votre vie. Vous redevenez acteur ou actrice de votre chemin.
Le coaching bien être est là pour vous soutenir, vous éclairer et vous permettre de transformer ce passage flou en une opportunité de croissance profonde.
Et VOUS,
où en êtes-vous aujourd’hui avec ce ressenti intérieur ?
Est-ce qu’il y a un domaine dans votre vie où vous vous sentez à l’étroit, éteint·e, déconnecté·e ?
Des situations, des moments où vous sentez un vide, un malaise ?
Est-ce qu’il y a des instants où vous vous demandez :
“Est-ce vraiment la vie que je veux ?”
Et maintenant, IMAGINEZ … Si vous vous sentiez aligné.e, serein.e :
Dans quelles situations/domaines ressentez-vous déjà ce bien-être ?
Qu'est-ce qui vous apporte cette sérénité ?
Où aimeriez-vous vous sentir aligné.e?
Que vous dit votre murmure intérieur ?
Qu'est ce qui vous manque ? Quel besoin n'est pas nourri?
Quelle valeur n'est pas honorée?
🎯 Ce flou, ce malaise, cette perte d’envie ne sont pas anodins. Ils ont quelque chose à vous dire. Et parfois, il faut un espace sécurisé, un coach de vie, une relation coaché/coach profonde pour mettre des mots dessus. Pour y voir plus clair. Pour retrouver du sens. C’est là que le coaching bien être prend tout son sens : un accompagnement qui vous aide à vous recentrer et à renouer avec ce qui compte vraiment pour vous.
C’est exactement ce que je vous propose à travers mon accompagnement sur-mesure. Un espace doux, honnête, soutenant mais challengeant pour vous recentrer, vous questionner, vous reconnecter. Grâce au coaching bien être, vous pourrez apprendre à vous écouter pour vous construire une vie plus alignée avec vos valeurs, vos besoins, vos envies et avec la personne que vous voulez devenir.
📞 Je vous invite à réserver un appel découverte offert, sans engagement. Un moment pour vous, rien que pour vous, pour explorer où vous en êtes et voir si je peux vous aider à franchir un cap.
Alors, qu'en dites-vous?
Faites confiance à votre intuition,
celle qui vous dit "oui, c'est ce dont j'ai besoin" ou celle qui vous dit "non".
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Karine BASSETTI
coach de vie
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