Comment développer sa confiance en soi ?
- karinebassetti
- 20 juin
- 13 min de lecture
Karine BASSETTI - coach de vie
La confiance en soi est bien plus qu’un simple sentiment de certitude. Elle reflète la perception que l’on a de sa capacité à agir, à relever des défis et à avancer vers ses objectifs, même lorsque l’issue est incertaine.
Avoir confiance en soi, ce n’est pas croire que l’on va réussir à coup sûr, mais plutôt avoir foi en ses compétences, en ses ressources intérieures, et en sa capacité à apprendre, à rebondir et à se respecter, y compris dans l’échec.
Contrairement à une idée reçue, la confiance en soi n’élimine pas la peur : elle nous apprend à avancer avec elle. Elle ne garantit pas le succès, mais elle ouvre la voie à l’action, à l’apprentissage, et à l’audace.
Alors, comment développer cette confiance jour après jour, dans notre quotidien parfois exigeant ou incertain ? C’est ce que nous allons explorer ensemble dans cet article.
SOMMAIRE
ÉTAPE 1 - Trouver le bon objectif, là où vous voulez gagner en confiance en soi
ÉTAPE 2 – Identifier et déconstruire vos croyances limitantes qui sabotent votre confiance
ÉTAPE 3 – Tenir un journal des réussites
ÉTAPE 4 – Sortir de sa zone de confort progressivement
ÉTAPE 5 – Apprendre à s'affirmer
ÉTAPE 6 : Le corps et la respiration, des alliés puissants de la confiance en soi
1. Quels sont les signes d'un manque de confiance en soi ?
L'évitement
L'Auto-sabotage
La difficulté d'affirmation, difficulté à dire "non"
Une posture corporelle fermée
Mais on trouve également des mécanismes de pensée, un fonctionnement interne particulier qui sont des manifestions de ce manque de confiance en soi :
La dévalorisation
La peur du regard des autres
La peur du jugement des autres
La peur du rejet
La peur de l'abandon
Le syndrome de l'imposteur
Vous trouverez le détails de ces symptômes ici.
2. Conséquences du manque d'estime et de confiance en soi ?
Dans la vie personnelle : frein à l’épanouissement
Le manque de confiance en soi peut nous empêcher de passer à l’action, même quand nous avons des envies ou des projets qui nous tiennent à coeur.
Il installe un doute constant, une peur de se tromper, qui conduit souvent à l’inaction.
Résultat : frustration, dévalorisation, mal être, sentiment de honte et de culpabilité, dépendance affective, vide intérieur et sentiment de passer à côté de soi. Le manque de confiance agit alors comme un frein à notre épanouissement personnel.
Dans les relations : difficulté à s’affirmer et à poser des limites
Quand la confiance en soi est faible, on a tendance à vouloir éviter le conflit à tout prix, à se faire petit, à se conformer à ce que l’on pense que les autres attendent. Résultat : on dit "oui" alors que nous pensons "non", nous n’osons pas exprimer nos désaccords ou nos besoins, et nous finissons souvent par nous sentir exploité·e ou incompris·e. Ce déséquilibre relationnel peut créer du ressentiment, voire nous conduire à nous entourer de personnes qui ne nous respectent pas.
Dans la vie professionnelle : invisibilité et autocensure
Sur le plan professionnel, un manque de confiance peut être paralysant. Vous hésitez à postuler pour un poste plus élevé, à vous exprimer en réunion, à valoriser vos idées ou votre travail ? Vous avez peur d’être jugé·e ou de faire des erreurs, alors vous vous censurez ?
Avec le temps, cela peut freiner votre progression de carrière, vous faire passer à côté d’opportunités précieuses, et entretenir un sentiment de stagnation ou d’injustice : vous savez que vous valez mieux, mais vous n’osez pas vous mettre en avant.
Dans la santé : tensions, fatigue et stress
Le doute permanent, la dévalorisation et la peur de l’échec, du regard des autres entraînent une tension physique constante, le corps entre en mode "alerte". Le système nerveux sympathique est activé, il déclenche la réponse de "combat ou fuite". Ce mécanisme de stress s'accompagne d'une élévation du taux de cortisol, l'hormone du stress.
Le cortisol est utile à court terme pour faire face à une situation perçue comme menaçante. Mais lorsque le manque de confiance devient chronique, le corps produit du cortisol en excès, parfois en continu. Cela peut entraîner des effets secondaires physiques et psychologiques (fatigue persistante, troubles du sommeil, tensions musculaires, troubles digestifs, baisse des défenses immunitaires, troubles de la concentration ou de la mémoire, irritabilité ou hypersensibilité.)
Dans les choix de vie : peur de se tromper et dépendance à l’approbation
Quand la confiance est faible, chaque décision peut devenir un dilemme. Vous remettez en question vos choix, vous cherchez sans cesse l’avis des autres, vous avez peur de décevoir ? Cette indécision permanente peut mener à une perte de temps, une forme de paralysie ou de dépendance affective. Vous vivez selon les attentes extérieures, et non en fonction de ce qui vous anime profondément. Le risque : vivre une vie "par défaut", pas pleinement choisie.
Bonne nouvelle : la confiance en soi ça se développe !
Elle n’est pas innée.
Elle se cultive, jour après jour, avec des outils concrets, un travail intérieur, et parfois l'accompagnement bienveillant (mais pas en mode bisounours) d'un coach de vie. Chaque petit pas compte.
Vous pouvez apprendre à vous affirmer, à croire en vos capacités, à oser, à vous sentir légitime et libre.
3. Comment apprendre à s'estimer et à se faire confiance ?
Renforcer son estime de soi et sa confiance ne se fait pas en un claquement de doigts. C’est un cheminement, parfois progressif, mais profondément transformateur, et surtout accessible à chacun.
Oui, c’est possible !
Que ce soit dans vos relations, votre vie professionnelle ou vos projets personnels,
cultiver cette force intérieure vous aidera à
vous sentir plus libre, plus affirmé·e, plus aligné.e, plus authentique.
Voici les 6 pistes essentielles que je vous partage,
pour vous aider à avancer avec clarté, courage et bienveillance.
alors c'est parti !!!
Voyons comment faire pour
prendre ou reprendre confiance en soi.
ÉTAPE 1 : Trouver le bon objectif, là où vous voulez gagner en confiance en soi
Développer sa confiance en soi commence par identifier dans quel domaine en particulier vous souhaitez progresser. Est-ce dans votre vie professionnelle ? Dans votre vie personnelle? Dans vos relations ? Quelles sont les situations dans lesquelles vous avez envie de vous sentir plus confiant.e?
Vouloir simplement "avoir plus confiance" est trop vague.
Il est essentiel de clarifier dans quelle situation précise vous souhaitez que cette confiance se manifeste.
Cette clarté vous permettra non seulement de mesurer vos avancées, mais aussi de rester motivé·e.
Un objectif bien défini donne du sens à votre démarche
et vous aide à mobiliser les bons leviers de développement personnel.
Posez-vous ces quelques questions essentielles :
– Dans quel domaine souhaitez-vous développer votre confiance ?
– Dans quelle situation concrète ce manque de confiance se manifeste-t-il et vous pose problème ?
– Comment saurez-vous que vous avez atteint votre objectif ?
– Pourquoi cet objectif est-il important pour vous ?
Résumez votre objectif en une phrase de projection :"Nous sommes dans (1 mois / 3 mois / 1 an)… Je suis (dans tel lieu, entouré·e de telles personnes), je fais…, je ressens (telles émotions)… lorsque (telle situation se présente).”
Ex: Nous sommes dans 1 an, je suis au concert de fin d'année de ma chorale, je ressens du stress et de l'excitation et j'ose prendre le micro pour chanter en solo un couplet.
Ex: Nous sommes dans 3 mois, je suis dans un bar avec mes amis et j'ose me lever, traverser la salle pour aller commander une bière.
Ex: Nous sommes dans 3 mois, ma mère commence à me dire ce que je dois faire pour mes enfants. J'inspire, je me redresse, je la remercie et lui dis que j'ai entendu ses inquiétudes et ses conseils mais que je vais décider avec (conjoint) de ce que nous décidons de faire.
Cela peut paraître simple, mais poser un objectif clair est une étape essentielle — souvent plus complexe qu’on ne le pense. C’est le socle de tout le processus de transformation.
Le coaching en confiance en soi permet d’y voir plus clair, de formuler un objectif juste, motivant et aligné avec qui vous êtes.
Si vous souhaitez aller plus loin, je peux aussi vous envoyer mes 3 vidéos offertes : elles contiennent des pistes concrètes et des questions puissantes pour vous aider à avancer sur votre objectif.
Je peux également vous accompagner en séance de coaching évidemment ! Le premier appel découverte est offert, pourquoi s'en priver ?!
ÉTAPE 2 – Identifier et déconstruire vos croyances limitantes qui sabotent votre confiance
Nos pensées ont un impact direct sur nos comportements. Si vous êtes convaincu·e que vous n’êtes pas capable, vous risquez d’agir comme si c’était vrai.
Ces croyances limitantes (nous en avons tous !), souvent enracinées dans notre passé, influencent nos actions… mais la bonne nouvelle, c’est qu’elles peuvent être transformées.
La première étape consiste à les identifier, à les remettre en question, puis à les reformuler de manière plus aidante et constructive.
Je vous le dis en toute transparence : cette étape est souvent délicate à traverser seul·e. Il est très facile de rester prisonnier·e de son propre angle de vue. C’est pourquoi je recommande vivement d’être accompagné·e par un coach de vie. Lors des séances de coaching confiance en soi, j'aide mes coaché.e.s à mettre en lumière leurs croyances, à comprendre comment elles les freinent, et surtout, à les transformer en pensées plus justes et plus adaptées à l'objectif de la personne.
ÉTAPE 3 – Tenir un journal des réussites
Pour commencer, prenez le temps de revenir sur vos réussites, grandes ou petites, qui ont jalonné votre enfance, votre adolescence ou votre vie d’adulte. Chaque victoire compte, même les plus discrètes. Peut-être s'agit-il de ce jour où vous avez osé lever la main en classe pour la première fois, chanté devant d'autres lors d’un karaoké, ou encore dit "non" à un collègue pour préserver vos limites, osé aborder une personne qui vous plaisait, osé prendre la parole dans un groupe... Même dans ce que vous estimez avoir raté, il y a forcément une petite étape réussie...trouvez-là !
Installez l’habitude de noter régulièrement — chaque jour ou chaque semaine — vos avancées et vos réussites, aussi modestes soient-elles. Ce journal devient un repère positif, une preuve tangible de vos capacités. Avec le temps, il nourrit votre estime personnelle et vous aide à garder confiance, même lorsque le doute s’installe.
Cela dit, je sais que cet exercice peut s’avérer difficile pour certain·e·s. Une de mes coachées me confiait ne rien trouver de "valable" à noter… et lorsqu’elle parvenait à identifier une réussite, elle la minimisait aussitôt : « Oui, mais ce n’est rien, c’était facile… ».
C’est justement là que l’accompagnement par un coach prend tout son sens. Nous avons souvent du mal à voir nos propres forces, comme si elles étaient dans une zone d’ombre. La métaphore du lampadaire illustre bien le rôle du coach : parfois, il suffit qu’un regard extérieur éclaire ce que vous ne voyez plus… pour que vous réalisiez toute la valeur de ce que vous êtes déjà capable de faire.
ÉTAPE 4 – Sortir de sa zone de confort progressivement
La confiance en soi ne tombe pas du ciel, elle se développe grâce à la mise en action, grâce à l'expérimentation. Cela commence par oser… un petit pas à la fois. Il ne s’agit pas de se jeter dans le vide, mais plutôt d’explorer progressivement des situations nouvelles, à votre rythme.
À chaque fois que vous sortez de vos habitudes, même un peu, vous vous démontrez que vous êtes capable. Ces micro-victoires, accumulées au fil du temps, ont un effet transformateur puissant.
La zone de confort, c’est l’espace du connu, de la routine, de l'habitude. Elle a une grande utilité au quotidien, elle rassure. Mais ce n’est pas là que l’on apprend ni que l’on grandit. Pour évoluer, il est nécessaire d’en sortir… sans pour autant basculer dans l’inconfort extrême ou l’angoisse. L’enjeu n’est pas de se mettre en danger, mais de se challenger juste ce qu’il faut, en s’autorisant à aller un peu plus loin, petit à petit.
– Alors, quel serait ce petit pas pour vous aujourd’hui ?
– Quelle action simple pourriez-vous entreprendre, qui vous rapprocherait de votre objectif de confiance ?
Cela peut être : oser sourire à quelqu’un qui vous plaît ? Oser envoyer un message que vous avez longtemps repoussé ? Oser dire non à une demande qui ne vous convient pas ? Oser lever la main en réunion ou en cours ? Oser regarder votre interlocuteur dans les yeux ? Oser passer ce coup de fil que vous évitez ? Oser vous inscrire à un atelier, une formation, une chorale, un cours de théâtre…?
Choisissez un petit pas concret, faisable, et engagez-vous à le répéter aussi souvent que possible. À force de le pratiquer, ce qui vous semblait difficile deviendra plus naturel… et vous serez alors prêt·e à franchir le pas suivant !
ÉTAPE 5 – Apprendre à s'affirmer
S’affirmer, ce n’est ni dominer, ni être agressif.
C’est simplement se respecter soi-même, oser exprimer ce que l’on pense, ce que l’on ressent et ce que l’on souhaite, tout en respectant l’autre. C’est aussi accepter de laisser tomber le masque social que l’on porte parfois pour se conformer ou éviter les conflits.
Apprendre à dire non, poser des limites, faire entendre ses besoins : ces compétences relationnelles sont essentielles pour développer une confiance solide et authentique. Car plus vous vous affirmez, plus vous vous sentez légitime dans vos relations. Plus vous êtes authentique, plus vous attirez naturellement les bonnes personnes autour de vous.
En effet, l’authenticité agit comme un filtre : en étant vrai·e, vous écartez ce qui ne vous correspond pas et attirez ce (et ceux) qui résonnent vraiment avec vous.
Vous avez du mal à dire "non" sans culpabiliser ? Je vous invite à découvrir deux articles que j’ai rédigés sur ce sujet :
Épisode 1 : Dire "non", pourquoi est-ce si difficile ?
Épisode 2 : Comment apprendre à dire "non".
ÉTAPE 6 : Le corps et la respiration, des alliés puissants de la confiance en soi
Le corps et l’esprit sont intimement liés. Un manque de confiance se manifeste souvent à travers le langage corporel : dos voûté, regard fuyant, voix hésitante, respiration rapide… Ces signes physiques, extérieurs, ne sont pas seulement des reflets de votre état intérieur, ils le renforcent.
En effet, notre corps influence notre esprit, et inversement. C’est ce que démontrent plusieurs recherches en neurosciences et psychologie corporelle. La manière dont nous nous tenons peut avoir un impact direct sur notre niveau de confiance, notre stress, nos émotions… et même notre biochimie.
1- Les « power poses » : quand la posture renforce la confiance
La psychologue sociale Amy Cuddy a mené en 2010 une étude célèbre sur l’impact des "postures de puissance" (power poses). Ses résultats sont saisissants : après seulement 2 minutes dans une posture ouverte et expansive (debout, les bras levés en V ou les mains sur les hanches, les pieds bien ancrés, la poitrine dégagée, le regard vers l’avant, comme un super héros), on observe :
une augmentation de 20 % de testostérone (hormone liée à la confiance et à l’affirmation de soi),
une baisse de 25 % du cortisol (hormone du stress),
et un comportement plus affirmé dans les minutes qui suivent.
Ces simples ajustements corporels peuvent ainsi changer la perception que nous avons de nous-même en quelques instants.
À l’inverse, adopter une posture repliée ou fermée peut renforcer le stress, la soumission, et le manque d’énergie.
2- Posture et motivation : un impact sur la dopamine
D’autres recherches montrent qu’une posture droite et ouverte stimule également la dopamine, neurotransmetteur clé de la motivation et du plaisir. Ce mécanisme renforce la confiance et l’élan vers l’action.
A l'inverse, se tenir affaissé ou voûté envoie inconsciemment un signal de repli ou d’échec au cerveau, diminuant la motivation.
3- Posture, respiration et régulation émotionnelle au niveau du système nerveux
Changer de posture permet aussi de moduler le système nerveux autonome :
Les postures relâchées (adoptées en méditation, yoga, sophrologie…) activent le système parasympathique, responsable du calme et de la récupération.
À l’inverse, une posture tendue déclenche le mode “alerte” (système sympathique), qui peut entretenir l’anxiété si on y reste coincé trop longtemps.
4- Le biofeedback : la posture influence l’émotion et l'état d'esprit
Des chercheurs comme Erik Peper ont montré que la posture influence notre état émotionnel : S’affaisser augmente les pensées négatives et les risques de ruminations, amplifie les sentiments de tristesse.
A l'inverse, se redresser peut améliorer l’humeur, favorise un état d’esprit plus positif et dynamique et augmente la résilience émotionnelle.
Ces effets relèvent du biofeedback : en changeant notre posture corporelle, on modifie les messages envoyés au cerveau.
“Our bodies change our minds, and our minds can change our behavior, and our behavior can change our outcomes.”(Notre corps change notre esprit, notre esprit peut changer notre comportement, et notre comportement peut changer nos résultats.)
👉 Cette citation résume l’effet en cascade que peut avoir un simple ajustement corporel sur la confiance, les actions et les résultats concrets.
5- En pratique : 3 gestes simples pour ancrer la confiance
"Power pose" 2 minutes chaque matin par exemple ou avant un moment important.
Installez-vous pieds écartés, mains sur les hanches ou levées, regard droit. Maintenez cette position pendant 2 minutes. C’est un vrai "boost" de confiance avant un rendez-vous ou une prise de parole.
Redressez-vous régulièrement et respirez profondément : relâchez les épaules, ouvrez la poitrine, respirez profondément par le ventre.
Posture de relaxation en fin de journée : allongez-vous, bras et jambes détendus, pour laisser le corps relâcher le stress de la journée.
Pratique corporelle régulière : Certaines pratiques comme le yoga, le chant, le théâtre, la danse, la sophrologie, la méditation, le sport permettent de renforcer l’ancrage et la confiance par le corps.
Et VOUS,
où en êtes-vous aujourd’hui avec votre confiance ?
Ressentez-vous, dans un ou plusieurs domaines de votre vie,
un frein, une retenue, un malaise, une frustration, une souffrance ?
Y a-t-il des moments où vous aimeriez oser dire, faire, être, mais où quelque chose vous retient ?
Y a-t-il un domaine de votre vie où votre manque de confiance vous empêche de vous exprimer, de vous sentir pleinement vous-même ?
En quoi est-ce un frein, un problème pour vous aujourd’hui ?
Quelles sont les conséquences dans votre quotidien, vos relations, vos projets ?
Qu’est-ce que cela vous coûte en énergie, en estime, en liberté intérieure ?
Qu’est-ce que cela vous empêche de faire ou d’être ?
Et maintenant, IMAGINEZ … Si vous vous sentiez confiant.e :
Qu’est-ce que cela changerait concrètement dans votre vie ?
Que feriez-vous différemment ?
Quelles décisions prendriez-vous ?
Quel impact cela pourrait-il avoir, à moyen et long terme, sur votre bien-être, vos relations, vos projets, votre vie actuelle, votre avenir ?
🎯 La confiance, ce n’est pas quelque chose que l’on a ou que l’on n’a pas. C’est quelque chose qui se construit, étape par étape… et cela peut commencer aujourd’hui.
📞 Je vous propose un appel découverte offert, sans engagement, pour en parler ensemble. C’est un temps d’échange pour mieux comprendre vos besoins et voir si un accompagnement en coaching pourrait vous aider à franchir un cap.
🧠 Rappelez-vous : notre cerveau adore avoir raison. Lorsqu’une croyance limitante est ancrée, il cherche en permanence des preuves pour la confirmer. C’est ce qu’on appelle le biais de confirmation.
👁🗨 Un coach, c’est un regard extérieur bienveillant et challengeant, qui vous aide à changer de perspective, à dépasser les schémas limitants pour vous permettre d'atteindre vos objectifs.
💬 Nous avons parler de zone de confort et de la nécessité d'en sortir progressivement, pas à pas, pour progresser ...Et si ce premier pas, c’était maintenant, ici, ensemble ?
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Karine BASSETTI
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